Je me trouvais ce matin, 16 octobre 1832, à San
Je me trouvais ce matin, 16 octobre 1832, à San Peitro in Montorio, sur le mont Janicule, à Rome, il faisait un soleil magnifique. Un léger vent de sirocco à peine sensible faisait flotter qulques petits nuages blancs au-dessus du mond Albano, une chaleur délicieuse régnait dans l'air, j'étais heureuxe de vivre (...)
Je me suis assis sur les marches de San Pietron et là j'ai rêvé une heure ou deux a cette idée : Je vais avoir cinquante ans, il serait bien temps de me connaître. Qu'ai-je été, que suis-je, en vérité de serais bien embarrassé de le dire (...)
Le soir, en rentrant assez ennuyé de la soirée de l'ambassadeur, je me suis dit : je devrais écrire ma vie, je saurais peut-être enfin, quand cela sera fini dans deux oi trois ans, ce que j'ai été, gai ou triste, homme d'esprit ou sot, homme de courage ou peureux, et enfin au total heureux ou malheureux.
Je Crois que la personne qui a écrit cette autobiographie est un homme-âge qui est préoccupé parece qu'il aura 50 ans bientôt, et il se demande qu'est-ce qu'il a fait pendant sa vie. En plus je pense qu'il a écrit cette paragraphe car il a peur de mourir.